Pensées profondes d'une fille écervelée

De l’anniversaire du 1er de l’an

Ça y est. Un mois après avoir commencé l’organisation de la fête de l’année, AKA l’anniv’ du jour de l’an, voici que la fête est déjà finie.

Mais quelle fête mes amis !

Amis. Cela aura été le maître mot de l’événement. Malgré notre insistance sur le fait que nous organisions et donc prenions en charge la gestion de la soirée, il fut très rapidement évident que mes amis ne se laisseraient pas inviter sans participer un minimum maximum à l’approvisionnement.

Et que se passe-t-il lorsque vous planifiez une soirée pour 20 personnes, en achetant suffisamment de nourriture et d’alcool pour 30 et que vos potes s’en mêlent ?

Ça donne de quoi nourrir le sous-continent indien pour 2019 et assez de liquide pour noyer 2018 et les deux mil dix-sept années précédentes.

Ça donne une soirée qui commence à 17 heures, pour l’inévitable tartinage de blinis, et qui se finit à 17 heures le lendemain, quand il ne reste plus une once de petits fours mais encore quelques bouteilles pour les apéros à venir.

Ça donne suffisamment de matériel pour que la maison soit visible et audible de la station spatiale internationale, même si on n’aura pas eu assez de prises (ou de puissance) pour tout installer.

Ça donne un concours de danse qui aura laissé quelques hanches douloureuses pour les jours qui suivront.

Et ça donne suffisamment d’amour pour permettre de tenir confortablement sur ses réserves au minimum jusqu’à 2020.

De l’amour, j’en ai reçu à foison, de la part de ma merveilleuse clique. Amis, famille, survivants de mes anciens jobs. Une clique d’enfer. Arriver à 40 ans et utiliser le mot « clique »… 3 fois. Quelle misère mes amis.

On dit souvent que l’âge est dans la tête. Cette folle soirée a non seulement confirmé mon âge mental de 15 ans, mais également celui de mes convives, qui ne volait pas beaucoup plus haut. Désolée, mais je suis obligée de balancer.

Ce qui se passe à Vegas reste à Vegas. Cette année, Vegas en a vu de belles.

De belles gambettes, de belles robes, de belles chorégraphies, de belles tranches de rire, de belles embrassades. De belles personnes en règle générale.

Je suis plutôt fière de faire partie de ce petit groupe, plutôt sélect, avouons-le. Du Beautiful People trié sur le volet, suite à un recrutement qui s’est étalé sur de nombreuses années mais qui paye aujourd’hui. Les critères de recrutement sont stricts, malgré les apparences. Tenir l’alcool ou du moins ne pas l’avoir mauvais, ne pas trop être regardant sur les limites entre franche camaraderie et harcèlement sexuel, entre blague acceptable et blague potache, accepter les goûts musicaux plus que personnels de l’hôtesse. La liste n’est pas exhaustive mais vous aurez compris l’idée : pisse-froids interdits.

Avec eux, le passage à la quarantaine ne fut qu’une formalité, une raison supplémentaire de faire la fête.

Ce modeste post est un hommage aux belles personnes qui m’entourent, toutes n’ayant pas été présentes à cette soirée mais toutes ayant leur étagère personnelle dans mon petit cœur de midinette.

Je ne suis pas sûre de vous mériter, mais je vous ai, alors je vous garde !

Encore une bonne année 2019, remplie de toutes les bonnes vibrations dont mon humble demeure résonne encore aujourd’hui.

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Katia

Bloggeuse amateur & Ecrivain dilettante

Non, ce n’est pas moi sur la photo et c’est la raison pour laquelle j’écris et que je ne fais pas de vidéos.
Rêver sa vie ou vivre ses rêves ? J’avoue que je n’ai pas encore choisi. Et vous ?

Katia Lacourte

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