« Choisissez un travail que vous aimez et vous n’aurez plus à travailler un seul jour de votre vie. »
La belle citation que voilà !
J’adore le concept, mais voilà, moi, ce que j’aime, c’est le paranormal et écrire les trucs qui me passent par la tête ! Avouez que les boulots de chasseuse de fantômes et d’écrivain auto-centrée, ce n’est pas en traversant la rue que je vais les trouver. J’ai tout de même vérifié auprès de Pôle Emploi, mais ça ne fait pas partie des compétences les plus recherchées…
Alors il va bien falloir trouver autre chose.
La crise de la quarantaine nous frappe tous, sous une forme ou sous une autre. Moi, la mienne m’en a collé une alors que je ne les avais même pas, mes 40 ans ! Bon, elle est pas tombée loin quand même.
N’empêche que la remise en question devient problématique quand tu ne te l’es jamais posé, LA question : qu’est-ce que je veux faire, plus tard ?
Moi, à 18 ans, je voulais trouver l’homme de ma vie… v’là le plan de carrière.
Alors, après un monumental « go find yourself » de l’Education Nationale, sous-entendu « Aide-toi toi-même », ma maman chérie m’a fourni quelques pistes, qui m’ont permis de tenir quelques années, et je l’en remercie 😘.
Maintenant que la situation se présente de nouveau, mon Mister Man adoré se propose de prendre la relève, avec le mantra « Censurons la censure », en clair, pas de freins !
Ça donne, sans ordre particulier :
– coiffeuse
– ergothérapeute
– diététicienne
– conseillère en Trumpisme
– dresseuse de chats (ça c’est mon idée, mais les résultats avec Mister Cat ont été peu concluants)
Bref, work in progress, comme disent les amerloques.
N’empêche qu’à bien y réfléchir, j’ai validé mon plan de carrière initial. Avec deux beaux projets en cours de gestion en prime. OK, c’est du boulot, mais qu’est-ce que j’aime ça !